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Biais de l’asymétrie cognitive
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Biais de l’anomie
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Biais de la pensée magique
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Biais d’intentionnalité ou d’anthropomorphisme
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Biais de proportionnalité
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Biais de confirmation
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Biais d’observation
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Biais de dissonance cognitive
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Biais de confiance excessive
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Biais de l’effet Dunning-Kruger
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Biais du sophisme de l’homme de paille
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Biais du sophisme de la solution parfaite
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Biais du sophisme du pragmatique
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Biais de l’effet boomerang
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Biais de mémoire
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Biais de l’effet cigogne
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Biais de l’erreur de la fausse équivalence
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Biais de sophisme
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Biais de disponibilité
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Biais de l’effet de vérité illusoire
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Biais d’ancrage
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Biais de cadrage
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Biais de picorage / cherry picking
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Biais de représentativité
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Biais de l’erreur de la preuve anecdotique
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Biais de l’effet de halo
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Biais de l’effet Barnum
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Biais de l’effet de Paréidolie
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Biais de l’effet de bizarrerie
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Biais des émotions immédiates
les biais cognitifs
On appelle biais cognitifs l’ensemble des raccourcis automatiques de notre pensée qui altèrent la recherche comme la perception d’une information et la façon dont nous l’interprétons. Ils concernent aussi ceux qui diffusent une information, parfois à leur insu, parfois volontairement pour influencer ou convaincre leurs destinataires.
Une même information peut ainsi prendre un sens différent selon la façon dont elle est présentée (les mots choisis, la forme graphique), le contexte dans lequel elle est diffusée (à quelle information préalablement reçue la nouvelle information fait écho, dans quel contexte sociétal cette information survient), ou selon notre histoire personnelle. Ces biais sont d’autant plus difficiles à détecter qu’ils protègent nos croyances ou l’image que nous avons de nous-mêmes.