Ce biais correspond à la tendance à n’accorder de valeur qu’aux informations qui confirment nos croyances et à ignorer ou dévaluer celles qui les contredisent.
Ce biais caractérise la tendance à manipuler inconsciemment une expérience ou interpréter de manière erronée les données afin d’atteindre un résultat spécifique attendu au départ.
Ce biais correspond à un raisonnement articulé sur la volonté d’éliminer toute contradiction, afin de restaurer un équilibre cognitif.
Ce biais est la tendance à surestimer ses connaissances, ses capacités physiques et intellectuelles, et à avoir trop confiance dans son jugement.
Ce biais conduit ceux qui ont peu de compétences à surestimer leurs compétences et inversement, ceux qui sont plus compétents à les sous-estimer.
Ce biais est une technique de rhétorique, également appelée « de l’épouvantail », qui consiste à déformer la position de l’adversaire en lui attribuant un argument facilement réfutable.
Ce biais consiste à mépriser une mesure au motif que celle-ci n’est pas parfaite. Ainsi, l’existence du moindre défaut suffirait à discréditer une proposition de solution.
Ce biais consiste à croire que quelque chose est vrai parce que « cela fonctionne ». Alors que la satisfaction n’a aucun rapport avec le fait que l’appareil, la médecine ou la thérapie en question a démontré un effet spécifique significatif supérieur au seul placebo.
Ce biais rend compte du fait que vouloir persuader quelqu’un que sa croyance est erronée, par l’exposition à des informations censées l’infirmer, a parfois pour effet de la renforcer.